Présenté du 12 au 30 Avril 2022 au Théâtre Aux Écuries
SYNOPSIS

Attention. Cette histoire est votre histoire. Attachez vos ceintures.Un bon jour (bientôt), le prix des bananes monte en flèche et tout s’écroule comme un château de cartes. Les gens expriment avec violence toutes leurs petites rages refoulées et c’est franchement pas beau à voir.
Plus d’électricité, plus d’argent, plus rien. C’est la Grosse Noirceur, la fin de la civilisation.
À quoi bon essayer d’avancer collectivement si tous ceux qui nous entourent sont caves ? Les gens se regroupent en petites communautés rurales, loin des autres et de leurs points de vue, avec seulement des gens qui pensent comme eux. Mais vous n’êtes bien nulle part. Vous fuyez. De village en village.
Que fuyez-vous vraiment? La violence? Les gens? L’amour? Vous-mêmes?
Vos pérégrinations vous catapultent à l’Étape, la célèbre halte routière perdue sur la route 175 entre Québec et Saguenay, un inquiétant hameau désert où un gardien grincheux vous héberge. Est-ce possible de réapprendre à vivre en société, à deux? Surtout quand l’autre est un inquiétant maniaque?

Crédits

Production : le Théâtre du Futur
Texte : Olivier Morin et Guillaume Tremblay
Mise en scène : Olivier Morin
Interprétation : Navet Confit, Myriam Fournier, Olivier Morin et Guillaume Tremblay
Musique : Navet Confit
Régie : Catherine Sabourin
Éclairages : Marie-Aube St-Amant-Duplessis
Scénographie : Raymond-Marius Boucher, Bruno-Pierre Houle
Direction technique : Alice Germain
Direction de production : Myriam Poirier Dumaine
RAPPORT DE PRESSE: 

« Cette bande d’artistes rigolos (ou carrément niaiseux) multiplie les références à la culture populaire (ceux qui s’ennuyaient de la série SCOOP seront ravis) et réussit à déclencher des rires francs avec deux ou trois bouts de ficelles. Il faut pour y arriver une folie créatrice totalement assumée, un état que peut revendiquer la joyeuse troupe du Théâtre du Futur. »
Stéphanie Morin – La Presse

« La multiplicité des références culturelles, sociales, sportives et politiques impressionne. La représentation est un feu d’artifice d’accents, d’époques, de territoires, de rythmes et d’œuvres, sans parler des innombrables calembours. »
Christian St-Pierre – Le Devoir

« Il y a tant de gags que chacun.e y trouve son compte. Soulignons le travail sur la langue, plus riche qu’il n’y parait à première vue, et qui réserve souvent des surprises d’inventivité. »
Philippe Mangerel – Revue JEU

« Sous les blagues qui font mal et les fanfaronneries, il y a dans La Grosse Noirceur une virulente critique de l’individualisme et des libertariens, une tendance de société aussi inquiétante que prévisible. »
Pierre-Alexandre Buisson – Bible Urbaine

Du Futur à volonté...

Back to Top