D'après l'œuvre de 𝐌𝐚𝐜𝐡𝐢𝐚𝐯𝐞𝐥
Texte 𝐎𝐥𝐢𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐌𝐨𝐫𝐢𝐧 et 𝐆𝐮𝐢𝐥𝐥𝐚𝐮𝐦𝐞 𝐓𝐫𝐞𝐦𝐛𝐥𝐚𝐲
Mise en scène 𝐎𝐥𝐢𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐌𝐨𝐫𝐢𝐧
Avec 𝐀𝐧𝐧-𝐂𝐚𝐭𝐡𝐞𝐫𝐢𝐧𝐞 𝐂𝐡𝐨𝐪𝐮𝐞𝐭𝐭𝐞, 𝐒𝐭𝐞́𝐩𝐡𝐚𝐧𝐞 𝐂𝐫𝐞̂𝐭𝐞, 𝐌𝐚𝐫𝐢𝐞-𝐂𝐥𝐚𝐮𝐝𝐞 𝐆𝐮𝐞́𝐫𝐢𝐧 , 𝐎𝐥𝐢𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐌𝐨𝐫𝐢𝐧, 𝐆𝐮𝐢𝐥𝐥𝐚𝐮𝐦𝐞 𝐓𝐫𝐞𝐦𝐛𝐥𝐚𝐲
Production 𝐓𝐡𝐞́𝐚̂𝐭𝐫𝐞 𝐃𝐞𝐧𝐢𝐬𝐞-𝐏𝐞𝐥𝐥𝐞𝐭𝐢𝐞𝐫 et @theatredudoublesigne
Texte 𝐎𝐥𝐢𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐌𝐨𝐫𝐢𝐧 et 𝐆𝐮𝐢𝐥𝐥𝐚𝐮𝐦𝐞 𝐓𝐫𝐞𝐦𝐛𝐥𝐚𝐲
Mise en scène 𝐎𝐥𝐢𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐌𝐨𝐫𝐢𝐧
Avec 𝐀𝐧𝐧-𝐂𝐚𝐭𝐡𝐞𝐫𝐢𝐧𝐞 𝐂𝐡𝐨𝐪𝐮𝐞𝐭𝐭𝐞, 𝐒𝐭𝐞́𝐩𝐡𝐚𝐧𝐞 𝐂𝐫𝐞̂𝐭𝐞, 𝐌𝐚𝐫𝐢𝐞-𝐂𝐥𝐚𝐮𝐝𝐞 𝐆𝐮𝐞́𝐫𝐢𝐧 , 𝐎𝐥𝐢𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐌𝐨𝐫𝐢𝐧, 𝐆𝐮𝐢𝐥𝐥𝐚𝐮𝐦𝐞 𝐓𝐫𝐞𝐦𝐛𝐥𝐚𝐲
Production 𝐓𝐡𝐞́𝐚̂𝐭𝐫𝐞 𝐃𝐞𝐧𝐢𝐬𝐞-𝐏𝐞𝐥𝐥𝐞𝐭𝐢𝐞𝐫 et @theatredudoublesigne
Équipes
Assistance à la mise en scène
et régie
ARIANE BRIÈRE
et régie
ARIANE BRIÈRE
Scénographie
ODILE GAMACHE
ODILE GAMACHE
Costumes
ESTELLE CHARRON
ESTELLE CHARRON
AssiStance aux costumes
Cloé Alain-Gendreau
Cloé Alain-Gendreau
Lumières
MARIE-AUBE SAINT-AMANT DUPLESSIS
MARIE-AUBE SAINT-AMANT DUPLESSIS
Musique
NAVET CONFIT
NAVET CONFIT
Accessoires
Angela Rassenti
Angela Rassenti
Maquillages-Coiffures
Sarah Ladouceur
Sarah Ladouceur
Conseil politologique
PRE ISABELLE LACROIX
PRE ISABELLE LACROIX








photos: Marie-Andrée Lemire
🎙️ « 𝐎𝐥𝐢𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐌𝐨𝐫𝐢𝐧 (@morinades) fait la mise en scène et le fait avec tellement d’idées géniales et hilarantes. Il y a tellement de détails dans la mise en scène qui m’ont mise en joie, qui m’ont fait hurler de rire ! […] Allez-y ! Il faut profiter de cette grande aventure intersidérale ! »
– Critique de Claudia Hébert, @toutunmatin (ICI Première)
Critique complète 👉 https://bit.ly/3PR5Wee
– Critique de Claudia Hébert, @toutunmatin (ICI Première)
Critique complète 👉 https://bit.ly/3PR5Wee





Résumé
Au IVe siècle de l’ère post-Google, les humains ont déserté la Terre et pris place à bord des Globotrons, qui sont en fait de redoutables vaisseaux-entreprises aux noms de Dollarama, Couche-Tard, Québecor, Ashton, Yoplait et Midi-Six. Alors qu’une guerre commerciale sournoise et barbare les oppose, une attaque imprévue ébranle celui que l’on surnomme le Prince, à sa première journée à la tête de l’entreprise familiale.
Quelle bâtisseuse a osé défier le Prince ? La fin justifie les moyens, paraît-il, mais la fin de quoi ? De la démocratie ? Du capitalisme ? Des grilled-cheese ? Qui peut vraiment se targuer d’offrir de bons conseils sur la meilleure manière de régner ?
Quelle bâtisseuse a osé défier le Prince ? La fin justifie les moyens, paraît-il, mais la fin de quoi ? De la démocratie ? Du capitalisme ? Des grilled-cheese ? Qui peut vraiment se targuer d’offrir de bons conseils sur la meilleure manière de régner ?
L’Italien Nicolas Machiavel a écrit Le Prince au XVIe siècle sous la forme d’une lettre adressée au prince Laurent de Médicis. Il y prodigue des conseils politiques discutables, tels que « Il est plus sûr d’être craint que d’être aimé » ou « Gouverner, c’est mettre vos sujets hors d’état de vous nuire et même d’y penser ».
Ces réflexions sur l’exercice du pouvoir forment un ouvrage incontournable, un livre de chevet pour de nombreux politiciens. Ceux qui l’ont lu, comme François Legault, savent que « Gouverner, c’est faire croire ».
C’est à Sherbrooke, au Théâtre du Double signe, compagnie ayant moult fois foulé les planches de la Salle Fred-Barry (Une fille en or, Britannicus Now), que s’est fomentée l’envie de s’attaquer au Prince avec comme frères d’armes les créateurs du Théâtre du Futur, qui radiographient l’inconscient collectif d’un humour toujours savant (Clotaire Rapaille : l’opéra rock, Le Clone est triste).
Ensemble, ils assaillent pour une première fois le grand plateau du TDP avec une adaptation ébouriffante qui, tournée vers demain, rappelle que les ficelles du pouvoir sont de tout temps bien emmêlées.