SYNOPSIS
Québec, l'an 2022 (la pièce à été écrite en 2012, donnez-nous un break).
Québec, l'an 2022 (la pièce à été écrite en 2012, donnez-nous un break).
La province est plongée dans la peur et la répression. Un référendum est tenu annuellement par Premier Ministre François Legault (on l'avait prédit!) dans le seul but d’humilier les derniers tenants de la souveraineté. Sa stratégie, l'option OUI / NON / PEUT-ÊTRE.
Gilles Duceppe, retraité depuis quelques années en Suisse, a une révélation lorsqu'il réécoute son discours de défaite comme chef du Bloc Québécois. Il réalise qu’il marmonne un peu, beaucoup, énormément. Il revient au Québec, suit des cours de diction chez Serge Postigo puis dirige le camp du OUI en vue du 9e référendum. Il fait campagne en motoneige sur tout le territoire du Québec. Mais des menaces de mort assombrissent sa campagne…
Gilles Duceppe, retraité depuis quelques années en Suisse, a une révélation lorsqu'il réécoute son discours de défaite comme chef du Bloc Québécois. Il réalise qu’il marmonne un peu, beaucoup, énormément. Il revient au Québec, suit des cours de diction chez Serge Postigo puis dirige le camp du OUI en vue du 9e référendum. Il fait campagne en motoneige sur tout le territoire du Québec. Mais des menaces de mort assombrissent sa campagne…
Méfiez-vous des souffleuses.
L’Assassinat du Président se déroule dans un Québec Shakespearien. Les citoyens sont craintifs, méfiants et politiquement fatigués. La pièce est un appel à l'affranchissement de nos peurs identitaires et des guerres invisibles qui divisent le Québec : une souffleuse qui passe dans l’hiver de nos complexes. Le spectacle est présenté sous la forme d’un radio-théâtre des années 50, avec des micros et des objets sonores manipulés en direct.
Distribution:
Navet Confit
Catherine LeGresley
Olivier Morin
Mathieu Quesnel
Guillaume Tremblay
Catherine LeGresley
Olivier Morin
Mathieu Quesnel
Guillaume Tremblay
Texte: Olivier Morin et Guillaume Tremblay
Mise en scène: Olivier Morin
Musique et environnement sonore: Navet Confit
Éclairage: Marie-Aube St-Amant Duplessis
Mise en scène: Olivier Morin
Musique et environnement sonore: Navet Confit
Éclairage: Marie-Aube St-Amant Duplessis
Présentations
Théâtre La Chapelle, 19 au 24 juillet 2012 (dans le cadre du Zoofest)
Salle Jean-Claude-Germain du Centre du Théâtre d'Aujourd'hui *, 3 au 21 septembre 2013
Centre culturel de Paspébiac, 17 et 18 mai 2013 (AKA Opération Homard)
Théâtre Aux Écuries, 28 mars au 8 avril 2017, dans le cadre de la présentation de la Trilogie du Futur
Salle Jean-Claude-Germain du Centre du Théâtre d'Aujourd'hui *, 3 au 21 septembre 2013
Centre culturel de Paspébiac, 17 et 18 mai 2013 (AKA Opération Homard)
Théâtre Aux Écuries, 28 mars au 8 avril 2017, dans le cadre de la présentation de la Trilogie du Futur
* La version présentée au Théâtre d'Aujourd'hui était agrémentée de l'infâme bonus Rise of the la Planète of les Chiens.
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L'Assassinat du Président - RÉCIT D'UN SCANDALE
La première mouture de L'Assassinat du Président a été créée dans la tourmente à l'été 2012 dans le cadre du Festival Zoofest au Théâtre la Chapelle.
SCANDALE!
SCANDALE!
SCANDALE!
Dans la programmation du Zoofest cet été là, on y annonce en très petits caractères notre pièce «L'Assassinat de Gilles Duceppe» avec un synopsis pas piqué des vers. Rebondissement: une des personnalités publiques (qui se trouve aussi à être un personnage cité dans ledit synopsis) prend peur, contacte Gilles Duceppe en panique et convainc celui-ci qu'on lui veut du tort et qu'il devrait nous trainer en justice! L'histoire est relayée dans La Presse.
SCANDALE!
SCANDALE!
SCANDALE!
Dans la programmation du Zoofest cet été là, on y annonce en très petits caractères notre pièce «L'Assassinat de Gilles Duceppe» avec un synopsis pas piqué des vers. Rebondissement: une des personnalités publiques (qui se trouve aussi à être un personnage cité dans ledit synopsis) prend peur, contacte Gilles Duceppe en panique et convainc celui-ci qu'on lui veut du tort et qu'il devrait nous trainer en justice! L'histoire est relayée dans La Presse.
- De kessé?
Tsé. C'est 2012, ça brasse dans la Cité, tout le monde est sur les dents.
On fait aller nos contacts et on déniche le courriel de Gilles Duceppe. On finit par lui parler (!), on s'excuse de lui avoir fait peur et on propose d'entrée de jeu de changer le nom du show.
Il accepte.
Fiou.
Il accepte.
Fiou.
- Allez-vous venir?
- Avec plaisir.
- Avec plaisir.
Il est venu.
Cette saga est à ce jour notre meilleur coup de pub. Le show a été sacré coup de coeur Zoofest cette année là.
L'année suivante, on reprenait le show dans une version plus achevée à la salle Jean-Claude-Germain du Centre du Théâtre d'Aujourd'hui dans le cadre d'une résidence de création de deux ans. C'était super.
Gilles Duceppe est revenu. ❤️
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Citations des médias:
« Ce théâtre d'anticipation représente une heure de bonheur sur Terre. Dans la lignée des Zapartistes, des Cyniques, ou des meilleurs Bye-Bye, les artisans de L'assassinat (qui ont précédemment réalisé Clotaire Rapaille, l'opéra rock) ont du cran, de l'humour, et une bonne dose d'irrévérence.»
Luc Boulanger - La Presse, juillet 2012
«Débordant d'imagination et désopilant à souhait, cette ode éclatée à la résilience d'une homme politique est à la hauteur des attentes. La musique, un petit bijou de quétainerie signé Navet Confit, tient le tout en saucisse.»
Marc-André Mongrain - sors-tu.ca
«Tout en dérision, L’Assassinat du Président vous surprendra néanmoins par sa profondeur. On y expose des vérités criantes; on y défie l’ordre établi et on ne se laisse surtout pas impressionner par un nom ou un statut. Qui aime bien châtie bien? La troupe a le cœur grand comme ça, car rares sont les épargnés.»
Vickie Lemelin-Goulet - Les Méconnus, 5 septembre 2013
«Le texte vise juste et frappe fort. (...) L'exercice, d'une rigueur radioscopique, souligne ainsi nos travers avec intelligence et pertinence.»
Marilou Craft - Plein Espace
«Dans la petite salle Jean-Claude Germain de Théâtre d’Aujourd’hui, la catharsis est complète. Le blender qui trône au centre de la scène ne cesse de se faire joyeusement aller pour offrir la plus drôle des boucheries politiques. À un certain moment, il faut se rappeler à soi-même de respirer tellement on se marre, essuyant les larmes qui coulent au coin de nos yeux. Le rire est général, partagé. C’est pour ne pas trop en pleurer, vu la quantité incroyable d’absurdités dont recèle l’actualité politique québécoise.»
Thomas Dupont-Buist - Artichautmag.com - le 7 septembre 2013
«Les éclats de rire défilent, les instants de surprise se succèdent et les moments de réflexion s’incrustent un peu partout, laissant entrevoir un texte où l’intelligence et le sens du divertissement créent un rythme de croisière magistral. L’Assassinat du Président est un merveilleux exercice de défoulement et de rigolade qui n’épargne personne.»
Samuel Larochelle - Sage Gamin - 7 septembre 2013
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